Je m’offre ici un plaisir où l’on ne me suivra sans doute pas : comme Ponge (« Entre la cage et le cageot, le français a : cageot… »), j’aime les cageots et leur beauté rustique.
J’en fais ici quelques portraits absurdes mais sincères, décrivant jusqu’au détail jubilatoire la blessure des agraphes, la triste médiocrité des essences, l’injure du temps et des mauvais traitements.
J’aime les cageots, mais si vous préférez, pensez aux fruits, aux légumes et aux huitres, qui sont peut-etre dedans…